Study Group (2025)

Une histoire de lycéen·nes, avec du harcèlement, de vrais méchants et beaucoup de combats

10 épisodes de 40+ minutes
Disponible sur Viki sous-titré en français

Malgré tous ses efforts et une vraie passion pour les études, Lui1 (Hwang Min-hyun) reste désespéramment dernier. Il se donne une dernière chance : rejoindre un lycée technique où il lui sera sans doute plus facile de progresser. Mais le lycée en question est sous la coupe de Lui2, le fils d’un riche et puissant entrepreneur malhonnête et qui a décidé que le lycée était un bon vivier pour des recrues en manque d’argent, dociles…

Dans ce chaos où les élèves se battent entre eux pour se faire remarquer par Lui2, sous le regard d’un proviseur complice, Lui1 tente de monter un groupe d’étude.
Sauf que Lui1, élève de Seconde, est… super fort. Vraiment super fort. Pas juste un peu : absolument personne ne peut le battre.

Le gros de l’histoire, ce sont des combats entre le camp de Lui1 (les gentils, qui veulent étudier) et le camp de Lui2 (les méchants ou, plus exactement, un ensemble hétérogène avec des brutes attirées par le gain facile, mais aussi juste des pauvres qui n’ont pas trop le choix, comme celui qui doit payer les frais d’hôpital de son grand-père). Et, au fur et à mesure, forcément, le côté de Lui1 grossit.

La plupart des adultes ne sont pas à la hauteur, les policiers sont corrompus, mais on a une professeuse idéaliste pour veiller (plus ou moins, c’est quand même sur Lui1 que tout repose) sur nos jeunes héros.

Perso, j’aime bien.
Je vois des points qui pourraient faire fuir : les héros sont des lycéens dans un monde qui semble exagéré et c’est violent (tout se résout par des combats).
Mais, si on accepte le deal de départ, je trouve que ça fonctionne. Lui1 est complètement décalé et la plupart des personnages sont attachants et bien caractérisés.
Je regrette juste que le héros soit un peu au final celui dont on saura le moins de choses : il a été formé au combat par son mystérieux oncle dont on ne verra même pas le visage dans ses souvenirs…

Bref, du bon spectacle avec ce qu’il faut de bons sentiments.