Le confinement, c’est un peu comme les chagrins d’amour…

Tu te retrouves avec relativement plus de temps libre (même si tu as d’autres tâches, confiné·e, t’as les transports en moins, les barbecues chez les potes qui sautent… et, largué·e, tu récupères tout le temps que tu gaspillais avec un·e chéri·e) et des injonctions à le remplir « utilement » alors que, toi, tu sais qu’il n’y a qu’une chose à faire : attendre que le temps passe en bouffant de la glace au chocolat.

A propos Cenlivane

Ecrivain·e, Poète·sse, Blogueur·se
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