Un cavalier furieux chevauchant dans la nuit

Une chevelure sombre où s’engouffrent les vents
A son côté, la lame d’une épée qui luit
Là-bas, dans le lointain, de lugubres hurlements

Une frêle demoiselle aux longs cheveux blonds
De douces larmes coulant de trop beaux yeux longs
Le plus haut des donjons qui menacent les cieux
Enfermant en ses murs l’un des présents des dieux

Un cheval qui stoppe devant de très hautes portes
Des menaces criées qui à la guerre exhortent
Une lame tirée, beaucoup de sang versé

Et deux cérémonies, un chevalier nommé
Et un mariage entre deux charmants jeunes gens
Qui vivront pour toujours des plus tranquillement.

A propos Cenlivane

Ecrivain·e, Poète·sse, Blogueur·se
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