Elder Craft et Marsan : tout ce qu’on ne veut pas dans l’imaginaire

La nouvelle s’est répandue ce matin, notamment via Elbakin.
Elder Craft, l’éditeur de jeu de rôle, qui ne semble déjà pas avoir une bonne réputation dans le milieu rôliste, en particulier autour de son rapport à l’IA, publie également de la littérature depuis quelques mois et on apprend que l’un des associés de cette boîte est Stéphane Marsan.

Si je regarde dans mes archives, je n’avais pas fait de billets au moment de l’affaire Marsan, en 2021, car tout simplement je ne bloguais pas autant et je m’exprimais surtout sur les réseaux, mais je l’évoque dans un billet de 2022 et Elbakin a mis des liens vers deux articles de presse.
A été également redonné un lien vers un article d’avril 2021 sur Madmoizelle : Pourquoi une telle indifférence face au #MeToo de l’édition française ?

Après #MeToo, il est inconvenant de découvrir qu’un éditeur s’associe à une personne mise en cause par un très grand nombre d’autrices et le paysage de l’imaginaire français n’a pas besoin de ça.

As usual, chacun·e fait comme bon lui semble, mais, pour ma part, je pense que blacklister ce genre de boîtes est la chose la plus évidente.

Edit en fin d’aprem : A 16h48, Elder Craft a publié un communiqué en réponse au billet d’Elbakin sur BS.
Y’a tellement rien qui va…
En résumé pour les plus flemmard·es : Ils expliquent sans sourciller qu’ils ont pris l’argent de Marsan sans qu’il est rien à voir avec la boîte et que, en sus, ça ne lui rapporterait rien.

Ce billet a également été publié dans la #TribuneVdR et a une suite.

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I Picked Up a Celebrity On the Street | 나는 길에서 연예인을 주웠다 (2018)

Une histoire décalée avec laquelle j’ai ri de bon cœur et que j’ai envie de partager
10 épisodes de 60 minutes

Elle (Kim Ga-eun), maltraitée dans son travail, touche le fond : le chef et les collègues qui l’ont virée, pion éjectable, partagent un verre avec elle ce soir-là. A bout, dans la ruelle où elle croit apercevoir son (maintenant ex-)chef, elle jette sa chaussure sur lui, mais la silhouette, touchée, s’effondre.
Et ce n’est pas son chef qui est au sol, mais Lui (Sung Hoon), star ultra-connue, dont elle peut croiser les affiches à tous les coins de rue.
Persuadée qu’elle l’a tué, elle le ramène chez elle, le temps de réfléchir à comment se débarrasser du cadavre. Bien sûr, Lui n’est pas mort.
Comme « solution », elle ne trouve pas mieux que de le séquestrer (!) avec l’aide de Lui2 (Kim Jong-hoon), son voisin aidant, à qui elle raconte que Lui est son cousin, dérangé mentalement, qui s’est fait refaire le visage pour ressembler à la star.

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My Secret Star | 수상한 한류스타 (2020)

Une petite histoire fantastique trop courte
5 épisodes de 14 minutes

Elle (Hoang Yen Chibi), journaliste vietnamienne de divertissement, est à la recherche de scoops quand elle découvre que Lui (Sung Hoon), star coréenne, est frappé d’une malédiction. Et qu’elle est probablement la clé pour la résoudre (sinon, y’aurait pas d’histoire).
Difficile d’en dire plus sans tout raconter car on est sur un format très court (70 minutes) et, d’ailleurs… trop court, en fait.
On a une bonne idée d’histoire, mais rien que de raconter la rencontre, la malédiction… il faut un temps minimum.
Sur la question de la barrière de la langue, Elle possède des écouteurs (magiques ?) qui permettent de comprendre une langue étrangère, mais la question éventuelle des différences culturelles n’est pas du tout exploitée.

Bref, un bon pitch pour une histoire fantastique à développer, avec trop de moyens (acteurices, décors…) dont on ne peut que regretter qu’ils n’aient pas plus servi.

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My Secret Romance | 애타는 로맨스 (2017)

Une comédie romantique qui, sans être excellente, a un petit côté décalé qui ne m’a pas déplu
14 épisodes de 40+ minutes

Par un concours de circonstances où ils ont interagi plusieurs fois dans la journée, ils finissent le soir sur un coup de foudre / une relation sexuelle dans sa voiture à Lui (Sung Hoon) sur la plage. Mais, au matin, Elle (Song Ji-eun), honteuse de ce « coup d’un soir », s’enfuit avant qu’il se réveille, lui prenant son beau manteau et oubliant un coussinet de soutien-gorge.
Trois ans plus tard, le hasard amène Elle à travailler comme nutritionniste à la cantine de la boîte dont il est le directeur général.

Le thème général est qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de tomber amoureux : Lui est très sincère depuis le premier jour ; Elle se fait des nœuds dans la tête car elle ne veut pas passer pour une « fille facile ».
Autour d’eux, la galerie de personnages permet de créer la comédie, notamment la mère d’Elle qui est une actrice de films érotiques récemment mariée et qui a un jeune fils dont l’âge matche avec la première nuit de nos héros.
Lui est poursuivi par une présentatrice télé imbue d’elle-même, le meilleur ami d’Elle est amoureux d’elle, mais restera un véritable ami tout du long, le père de Lui ne veut pas d’Elle comme belle-fille, etc.

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« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités »

Le 19 septembre, les Utopiales ont annoncé, notamment sur FB, que, lors de l’édition qui arrive, des rencontres auteurices débutant·es avec un éditeur seraient proposées.
L’éditeur est GD, directeur chez AMI1.

Les Utopiales
Le festival est présenté dans le milieu de l’imaginaire2 comme le plus gros évènement du genre.
C’est un festival où je suis allé à plusieurs reprises et où je pense retourner à l’occasion.
Je ne sais juste pas quoi faire de cette idée de « plus gros » (si ça a un sens ?), sachant que, sur le site de la Cité des Congrès de Nantes, on peut lire : « le palais des congrès vous propose des espaces permettant d’accueillir tous vos événements de 200 à 4.000 participants ».
— Pour toi, ce serait quoi le plus gros évènement du genre en France ?
— La Japan Expo de Paris ?

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Les gens, il faut qu’on parle…

Si vous aimez une série / livre / film / chanson… c’est super sympa de le dire
mais il est peu probable, statistiquement, que ce soit la meilleure de tous les temps
Et vous savez quoi ?
On n’a pas besoin d’être « le meilleur » pour être « bien »

Et c’est pareil pour les festivals / conventions / expositions / conférences… si vous avez passé un bon moment, si vous vous êtes bien amusé ou avez beaucoup appris ou, juste, vous vous sentiez bien… c’est OK et ça n’a pas besoin d’être le plus mieux, que l’orga était la meilleure, que…

Avoir des « préférés », c’est bien pour faire de la préconisation : je veux conseiller une série à quelqu’un qui a peu de temps, je ne peux aller qu’à un festival par an et, du coup, ça aide à choisir…
Tant que c’est pour aider à faire des choix, ça a du sens : si tu hésites entre ça et ça, alors, le premier, tu vois, y’a plus de ceci et le second…

Mais les « formidable », « époustouflant », « génial »… quel sens ça prend si on les utilise à toutes les sauces ?
A-t-on besoin de classer des évènements ? Y’a un podium ?

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Cinderella and Four Knights | 신데렐라와 네 명의 기사 (2016)

Une romance plutôt pétée en vrai, mais qui peut se regarder et qui a ses fans…
16 épisodes de 60 minutes

Eun Ha-won (Park So-dam), c’est Cendrillon : une jeune fille pauvre maltraitée par sa belle-mère et la fille de celle-ci, tandis que son père est souvent absent pour le travail. Elle dort dans un recoin du balcon, enchaine les petits boulots et essaie d’économiser pour aller à la fac.
Elle croise le chemin de Kang Hyun-min, riche héritier, coureur de jupons, qui, pour gâcher le nième mariage de son grand-père, l’embauche comme « fiancée ». Bien sûr, il ne lui annonce pas qu’il veut gâcher un mariage, mais il prétend qu’il veut rassurer son grand-père sur son avenir car celui-ci est gravement malade et va mourir…
Bref, elle ne s’en laisse pas compter et, quand elle découvre le pot aux roses, elle « corrige » Hyun-min devant son Grand-père… qui décide de l’embaucher pour faire rentrer ses 3 petits fils (Hyun-min, Ji-woon et Seo-woo) sur le « droit chemin ».

Les quatre chevaliers du titre, ce sont les 3 petits-fils + Lee Yun-seong, le fidèle secrétaire du Grand-père.
Au début, Ha-won séduit par son caractère, genre pratiquante de taekwondo qui ne se laisse pas faire et qui doit accomplir les « missions » confiées par son employeur, mais… le caractère de notre héroïne s’efface à mesure que l’histoire part en sucette.

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D’Étrange Grande et de Harry Potter

Mon billet sera sans doute un peu long et ça ne m’arrange pas du tout.
Poster en réaction sur un réseau social, ça prend quand même du temps, mais ça peut se faire pendant une pause ou…
Rédiger un article / billet, ben… si on ne veut pas faire à l’arrache, il faut poser le contexte, donner quelques liens… et, du coup, forcément, ça veut dire qu’il y a un investissement en temps… qui va se répercuter sur mon lecteurice : plus je prends du temps, plus vous en avez à lire… mais le sujet est important (au sens que c’est bien de se poser).

Le festival Étrange Grande
En voulant le décrire un peu, je découvre qu’il a une page Wikipédia (depuis le mois de juillet). Ça me semble un peu étrange (Nice Fictions n’en a pas, par exemple), mais, du coup, je vous mets le lien pour plus d’infos.
L’édition de cette année est ce week-end.

Ce n’est pas un secret :
en tant qu’auteurice et amateurice d’imaginaire et en tant que président·e des Vagabonds du Rêve x Nice Fictions, je soutiens forcément l’existence des festivals du genre.
Ils apportent une réelle plus-value à notre milieu, notamment à sa branche littéraire, et je pense que nous n’en avons hélas pas assez en France.
J’ai moi-même dirigé les 10 éditions de Nice Fictions : je pose cette info ici dans le sens que
non seulement j’ai un a priori favorable envers toute équipe de bénévoles qui se lance dans l’aventure,
mais j’ai tout à fait idée des contraintes et du boulot que ça représente.

Le 8 septembre, l’auteurice CM Deiana annonçait sur sa page Facebook pourquoi iel annulait sa venue à Étrange Grande : le festival a choisi de programmer une exposition Harry Potter.
Pour vraiment les plus distraits d’entre vous — je le mentionnais déjà ici –, quel est le souci avec Harry Potter ?
Cette œuvre a clairement marqué une génération (on ne peut pas nier son influence), mais son autrice, Rowling, a montré ses dernières années une haine féroce contre les personnes trans, utilisant son argent et son influence pour nuire à des gens innocents, déjà souvent minorisés.

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L’intersectionnalité expliquée à un·e ami·e

Hier, quelqu’une me dit :
— Pour moi, ce qui est le plus grave, c’est l’écologie, que la planète brûle. C’est ce qui m’angoisse et c’est l’urgence à mes yeux.
Y’a pas de bonnes ou de mauvaises priorités, on fait chacun·e comme on peut pour gérer ce monde qui s’effondre.
— Je comprends, je lui réponds. Mais la pauvreté a explosé en France et c’est important aussi.
— Et la mortalité infantile, ajoute-t-elle. Tu as vu ça ? Le truc, c’est que, si j’ajoute ça (à mon éco-anxiété), je ne vais plus me lever le matin !

— Le truc, tu vois, c’est qu’on est dans un système. Fermé.
On est dans une bulle (la planète Terre) où tout est relié.
Si une personne est oppressée, lutte pour sa survie ou… est simplement (!) pauvre… elle n’a pas les ressources, l’énergie, le temps… de se soucier d’autre chose.
Basiquement, si tu as peu de ressources financières, tu ne peux pas choisir ce que tu consommes, tu prends ce que tu peux trouver.

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Et pourtant j’aime les machines…

Je suis abasoudi·e de comment en quelques... mois ? "demande à l'IA" a remplacé une recherche sur des moteurs (de recherche) Tant qu'à s'adresser à un neuneu pour avoir des réponses pétées, interroge le pilier de bar en bas de chez toi : tu auras une interaction humaine et peut-être que tu apporteras du fun dans sa vie Il doit y avoir un Enfer qui s'est ouvert pour tou·tes celleux qui préfèrent une réponse erronée en mauvais français à la lecture d'articles documentés -- Là, t'exagères, ChatGPT, il cause super bien ! -- Son style est affreux, ça t'arrache plus les yeux que des fautes banales !
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Welcome to Samdal-ri | 웰컴투 삼달리 (2023)

Une romance feel good réussie, à voir sans hésitation
16 épisodes de 70 minutes

Go Mi-ja et Bu Mi-ja sont deux haenyeo, deux plongeuses de l’île de Jeju1, et meilleures amies, fans du chanteur Cho Yong-pil. Le même jour, la première accouche de Cho Sam-dal (notre héroïne, jouée par Shin Hye-sun) et la seconde de Cho Yong-pil (incarné par Ji Chang-wook — oui oui, la mère lui donne le nom de son idole), mais Bu Mi-ja va mourir en mer.
Les deux petits, fusionnels, grandissent ensemble et, sans surprise, tombent amoureux, mais se séparent brutalement à 30 ans. 8 ans s’écoulent sans qu’Elle ne revienne. Le village (de Samdal-ri) plaint Lui qui semble ne jamais s’en remettre.
Elle est installée à Séoul avec ses deux sœurs, Cho Jin-dal (divorcée) et Cho Hae-dal (veuve), et Cha Ha-yul, la fille de Cho Hae-dal. Elle mène une brillante carrière de photographe quand tout s’écroule : Bang Eun-ju, son assistante, a une liaison avec son petit ami et l’accuse à tort de harcèlement.
Poursuivies par les journalistes, les trois sœurs et la petite fille rentrent chez leurs parents, à Samdal-ri.

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Escale | Stopover (2008)

8 minutes #fantastique


Marie rectifia sa position pour se caler le plus confortablement possible dans le siège métallique de l’aéroport. Elle jeta un coup d’œil à la grande horloge et replongea dans sa lecture. À la dernière page, elle referma l’ouvrage avec un petit claquement de langue satisfait.
L’horloge. Il lui restait encore une bonne demi-heure avant l’embarquement. Elle fouilla dans une de ses poches à la recherche d’un stylo puis commença à écrire sur la page de garde :
Cher inconnu,
J’espère que tu trouveras dans ce roman…

Quand elle eut fini de rédiger le petit mot qu’elle laissait au lecteur suivant, elle ne signa pas, se relut, puis déposa le livre sur le siège vide à côté. En réalité, à cette heure-ci, tout l’aéroport était vide. Seul le vol pour Paris avait attiré quelques voyageurs.
Elle remit son stylo dans sa poche, attrapa son sac-à-dos et se rapprocha de la porte d’embarquement. Un seul bagage. Elle avait abandonné une bonne partie de ses affaires dans les toilettes publiques où elle s’était changée quelques heures plus tôt, laissant l’identité de Jessica dans le seul pays qui l’aurait connue.
Marie aimait embarquer dans l’avion qui la ramenait vers son pays.

Le ciel était bas et gris. Marie avait décidé de passer quelques jours dans la capitale, histoire de se réacclimater avant de rentrer vraiment chez elle : faire du shopping et débarquer avec une valise pleine de vêtements, acheter un téléphone portable pour qu’on puisse la joindre comme un être humain ordinaire, prendre deux ou trois livres, du maquillage peut-être ? Elle avait même poussé la fantaisie jusqu’à choisir d’élégants escarpins. En se regardant dans le miroir de la boutique, elle trouva qu’elle avait tout d’une dame élégante.
Lorsqu’elle prit l’avion pour Nice, son corps avait réintégré le bon méridien et elle était délicieuse dans son tailleur hors de prix. Il y eut même un beau brun pour lui conter fleurette, l’avion étant en retard.
Marie aimait bien être une dame lorsqu’elle était en France.

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#cdramas Des histoires romantiques, douces, positives

Hier soir, autour d’un verre (sans alcool), comme à mon habitude, je me suis lancé dans une longue tirade pour expliquer la vibe « no male gaze » que je trouve dans les cdramas et j’ai donc promis de faire suivre ladite tirade d’un message avec des préconisations (pour quelqu’une qui ne connait donc pas les séries chinoises).

Mission accomplie, mail envoyé à la copine et, du coup… je vous copie/colle ici le résultat :
Pas de fantastique
Des histoires romantiques, douces, positives

Love me, love my voice
C’est de la fluffy romance. C’est donc très très doux et il ne se passe rien, en vrai, mais, perso, j’ai trouvé ça très agréable (en sachant ce que je regardais !).

The First Frost
Suite à une agression sexuelle par un membre de sa famille, une jeune femme disparait et son amoureux est triste et ne comprend pas.
Quand ils se retrouvent, elle doit surmonter ce qui lui est arrivé et lui doit comprendre ses blessures.
C’est un des succès 2025 et c’est mérité à mon sens.

Love the way you are
Une romance assez simple, mais qui dégage quelque chose qui me plait

Family by Choice #kdrama
Deux hommes (un veuf et un divorcé) élèvent ensemble 3 enfants, le premier étant dans le care tandis que le second est un homme plus « basique » (?).
Cette série coréenne est plus courte et avance plus vite que les autres titres proposés.
(Oui, je sais, y’a noté cdrama dans le titre de ce billet, c’est nimp !)

The Rise of Ning
Dans un temps ancien (patriarcat, femmes mariées sans leur consentement, polygamie), une jeune femme n’entend pas qu’on décide à sa place.
J’y ressens une forte vibe #JaneAusten.

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C’est pas si grave que ça !

"Si tu t'inquiètes de (placer ici un sujet gênant, mais pas si grave que ça si on joue au jeu stupide de tout est relatif), c'est que tu n'as pas vraiment de soucis !" FAUX On peut tout à fait subir la pression de graves soucis et d'ennuis bénins en même temps...
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The Prisoner of Beauty | 折腰 (2025)

Des rebondissements qui ne s’épuisent pas autour d’une héroïne qui nous séduit autant qu’elle emporte le cœur du héros
A binge-watcher sans complexe

36 épisodes de 40+ minutes

Réalisateurs : Deng Ke et Gao Cong Kai
Scénariste : Nan Zhen

Les grands-pères Qiao et Wei étaient amis et alliés et ont ensemble construit un grand canal pour irriguer leurs terres, mais, il y a 14 ans, les Qiao ont trahi les Wei en ne leur venant pas en aide et ceux-ci ont perdu grand-père, père et frère ainé de Wei Shao (Liu Yu Ning) qui, encore enfant, se retrouve à la tête de son clan, désormais plein de haine envers les traitres.
Décidé à rebâtir la paix, le grand-père Qiao offre en mariage sa petite fille et la grand-mère des Wei accepte, malgré toute sa peine, car Wei Shao a grandi rongé par l’idée de vengeance et ne court pas du tout vers le bonheur.
Qiao Man (Song Zu Er) est notre héroïne. C’est la 2e petite-fille et la cousine de Qiao Fan qui devrait épouser le seigneur ennemi. Les deux cousines sont réputées être les deux plus belles femmes… du monde ? Mais Qiao Man est aussi très intelligente et son grand-père a particulièrement soigné son éducation. Quand Qiao Man comprend que sa cousine est amoureuse du beau garçon d’écurie, elle décide de prendre sa place et l’aide à s’enfuir.

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