Her Private Life (2019)

16 épisodes de 60/70 minutes

Coup de coeur dans la catégorie Romance.
J’avais bien aimé ce drama lors du premier visionnage (et j’en avais déjà parlé brièvement dans un précédent billet), pour plein de petites choses et notamment parce que son héros est l’anti-prédateur, l’homme comme on les aime.
En cette période où l’on a besoin de réconfort, plutôt que de continuer le catalogue des comédies de Noël, je me suis faite un deuxième visionnage et j’ai encore mieux compris pourquoi j’avais aimé cette série.

Le sujet ? L’amour.
Et, dans une moindre mesure, l’art.
L’amour romantique, mais également entre membres d’une famille, entre amis, vieux amis, amis en devenir, entre idole et fan, pour l’humanité toute entière, pour les enfants, pour les parents…
L’amour et la tolérance pour tout ce qui est « différent » car nous sommes tou·tes différent·es les un·es des autres 😉

Elle (Park Min-young), curatrice dans une galerie, et sa meilleure amie sont fans absolues d’une idole.
Comme Elle s’en cache, quelques malentendus laissent croire à Lui (Kim Jae-wook), son nouveau directeur, qu’elle est lesbienne, en couple avec son amie. Il décide de protéger ce qu’il croit être son secret, avec gentillesse, avant de découvrir la vérité et de l’aimer pour son caractère passionné.
Leur histoire se déroule au fil de la construction d’une expo et de la recherche de mystérieuses peintures.

Il n’y a aucun méchant. Il n’y a que de la maladresse qui sera pardonnée. Il n’y a pas de menaces, pas de séparations pour de mauvaises raisons, que des retrouvailles et des acceptations.
L’humour/la comédie est plus présente sur le début et baisse un peu de régime en cours de route, mais l’ensemble est 100 % feel good.
Le message ? Soyons gentil·les les un·es envers les autres, le/la bizarre de quelqu’un·e sera le/la mignon·ne d’un·e autre et c’est tant mieux.

Bref, c’est baigné de tendresse sans être bébête.
Probablement une de mes romances préférées.