The Love You Give Me | 你给我的喜欢 (2023)

Une narration en carton, mais des personnages mignons…

28 épisodes de 40 minutes
Disponible sur Viki sous-titré en français

J’ai un avis très partagé sur cette série…
Je l’aime bien, en vrai, mais la narration / construction est vraiment WTF.
Elle1 (Wang Yu Wen) a découvert qu’elle était enceinte de Lui1 (Wang Zi Qi) après leur séparation, si bien qu’elle a vécu en tant que mère célibataire tandis qu’il ignorait qu’il avait un môme. Quand ils se retrouvent enfin, Lui1 a des a priori négatifs, mais va petit à petit redécouvrir combien c’est l’élue de son cœur.
OK
Sauf qu’il ne faut pas que l’un des deux ait trop de torts (ce sont les gentils après tout), donc leur séparation repose sur une intrigue complètement irréaliste, genre il n’a pas entendu ce qu’elle lui disait et elle n’a pas insisté car il a une grave maladie cardiaque ???
Cerise sur le gâteau, Lui2, le petit ami d’Elle2 (la meilleure amie d’Elle1), se retrouve embarqué dans ladite intrigue complètement tirée par les cheveux.
Fin du premier tableau.

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Miss Night and Day | 낮과 밤이 다른 그녀 (2024)

J’ai abandonné au début du 13e épisode…

16 épisodes de 60+ minutes
Disponible sur Netflix sous-titré en français

Épisode 13, à 20 minutes… J’ai mis l’épisode en pause car j’ai été interrompu et… je pense que je vais en rester là, au moins pour le moment.

Le rythme ne marche pas.

L’Acteur, amoureux de l’Héroïne, a rapidement compris ce qui lui arrivait et apprécie ses deux aspects, mais le Héros, qui est censé être un malin Procureur, et l’Enquêteur ne captent rien et ça tourne en rond…

Le propos de départ était très prometteur, mais ça ne fonctionne pas pour moi et je pense que l’interprétation de l’Héroïne-30-ans laisse à désirer.

Tant pis !

On verra si je m’y replonge un jour…

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Le Syndrome de la Fenêtre

5.500 signes – Temps de lecture : 5 minutes


Le syndrome de la fenêtre faisait des ravages dans la fonpub… On ne comptait plus le nombre de fonx qui s’étaient enlisés dans la maladie sans espoir de retour. Par la fenêtre, X regardait travailler les ouvriers. Il était fasciné par le mouvement des deux truelles, l’une posant la colle, l’autre la lissant, l’une posant la colle, l’autre la lissant…

Il était fonx depuis nombre d’années. Il travaillait dans un bureau vaguement gris, assez primitif quoique déjà moderne pour l’époque, mais la fonpub était alors loin de ce qu’elle est devenue, avec ses services hautement fonctionnels si remarquablement équipés.
Les fonx qui y vivaient étaient quasi coupés du reste du monde. Ils étaient d’ailleurs triés sur le volet par le biais de concours où ils devaient faire preuve d’un maximum de connaissances dans l’ensemble des divers domaines où ils n’auraient pas à exercer : Ceci laissant heureusement présager de leur aptitude à conserver une vie normale.
La formule était d’autant plus nécessaire que la presque totalité des citoyens éprouvait une hostilité déraisonnable à l’égard des fonx. Hostilité, il faut bien le dire, soigneusement entretenue par les gouvernants de l’époque.
Le fonx réussissait ainsi le double tour de force d’apaiser la rumeur publique, tel un bouc émissaire, tout en accomplissant son devoir d’état pour une rémunération de principe.

Dans la sphère où il travaillait, X ne voyait pratiquement jamais les grands pontes. Il travaillait sous les ordres d’un chef de service, lui‑même placé sous les ordres d’un dir. Les dirs étaient généralement aussi incompétents que prétentieux et celui de X ne faisait pas exception, un gros homme adipeux et déplaisant.
Les chefs directs, eux, étaient pratiquement répartis en deux groupes : les moshs et les N.U.L.S. auxquels s’ajoutait une poignée d’utops, ceux‑ci faisant l’objet d’un ostracisme marqué tant de la part des dirs que de leurs propres collègues.
Restaient les fonx de base : Indifs, R.A.S. et, là encore, quelques utops cachés, leur découverte entraînant impitoyablement leur élimination.
Ainsi, X était-il un fonx… un fonx doublé d’un utop, du moins un utop en puissance…

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Timeo Danaos et dona ferentes (2008)

12.760 signes #fantastique
Temps de lecture : 11 minutes


Elle se réveilla. Il lui fallut quelques secondes pour réaliser que c’était une position inconfortable qui l’avait arrachée aux bras de Morphée : elle s’était endormie dans le grand fauteuil du… boulot ? La nuit citadine brillait derrière les persiennes closes et, à l’autre bout de la pièce, Vincent et Damien s’agitaient sur leurs sièges, le regard rivé sur l’écran d’ordinateur. Elle se frotta les yeux et chercha l’horloge : 4h37.
— Vous auriez pu me réveiller ! se plaignit-elle à l’attention des deux garçons, mais ceux-ci la fixèrent de leurs yeux rougis où se mélangeaient fatigue et surprise :
— Ben, pourquoi tu voudrais qu’on réveille les gens qui dorment ? s’exclamèrent-ils en chœur.
Cathy eut un geste de la main, probablement pour dire « laissez tomber, z’êtes trop nuls » et se traîna jusqu’aux toilettes. Se passer de l’eau sur le visage, contempler ses cheveux d’un air navré. Elle s’était endormie sur son travail alors qu’elle aurait dû se trouver dans son lit douillet rien qu’à elle.
Elle revint dans la pièce principale :
— Vous faites quoi ? demanda-t-elle à ses collègues.
— Notre guilde est sur l’instance de Mallien le Maudit ! expliqua brièvement un Damien surexcité et Cathy soupira.
— On fait de la veille technologique, renchérit Vincent.

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Wonderland | 원더랜드 (2024)

Emouvant et sans faute

TW deuil
115 minutes

Wonderland est sorti hier, sur Netflix, et je viens de le finir à l’instant.

Wonderland est une société qui conserve les données des personnes décédées ou dans le coma. La famille / un proche peut souscrire à un abonnement et papote en visio avec la personne, qui a conservé son caractère et ses souvenirs, mais à qui on a effacé de savoir qu’elle était morte.
Avant de mourir, la personne décide de son « paradis ».

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I speak English not very well if I want!

Il y a des gens pour penser que, si on travaille assez, si on fait les efforts nécessaires… on peut forcément tout réussir. Je ne crois pas. Je trouve cette idée validiste et dangereuse.

Validiste car elle pose l’idée que nous sommes tou·tes exactement pareil·les, avec les mêmes « outils » dans notre corps. Dangereuse1 parce qu’elle entraine des parents, de bonne foi, à harceler leurs mômes, persuadés qu’ils « pourraient s’ils voulaient ».

Ce qui est problématique, ce n’est pas d’accepter que nous sommes différent·es et que certain·es d’entre nous ne peuvent pas faire certaines choses, mais d’attribuer de la valeur aux gens en fonction de ce qu’ils sauraient faire.

Depuis tout petit, je suis doué en grammaire et en orthographe. Françaises. Même à l’école primaire, dans mes cahiers, il était dit que j’écrivais « bien ». Bien sûr que le fait que ça me soit facile a entrainé que j’ai continué à beaucoup écrire (même de simples billets de blog ou des statuts bébêtes sur les réseaux), mais j’en avais aussi « besoin » car je suis plus à l’aise à l’écrit qu’à l’oral pour parler de certains sujets, notamment dans l’intimité.

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A chacun·e ses revanches sur la vie !

Texte de l’image :
Quand j’étais enfantE, ma mère me faisait beurrer les moules à gâteaux. Le beurre était dur et ne fondait jamais.
Maintenant, je huile les moules et je n’achète que du beurre tendre !
#lifehacks

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Les injonctions bébêtes…

… genre “partage si tu es d’accord”, ça fonctionne vraiment ? Y’a vraiment des gens qui vont partager ta diapo parce que tu leur dis de le faire ?

Partage si…
Arf, zut, my bad!

(Sorry, c’est mon humour pourri du dimanche matin…
— Parce que tu es drôle les autres jours ?
— Non, mais je ne prends pas le temps de faire des diapos ALC…)

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Une femme forte…

C’est une conversation que nous avons eu plusieurs fois avec Dounia Charaf et je me suis dit que c’était le bon jour pour la poser par écrit.
Le féminisme est un courant politique, collectif, visant à lutter contre un certain nombre d’inégalités, de discriminations.
A ce titre, il peut facilement devenir intersectionnel puisque, si l’on pense que les discriminations liées au genre ne sont pas acceptables, on peut probablement entendre qu’elles ne le sont pas plus si elles sont liées à l’ethnie, l’orientation sexuelle, la couleur de peau, la religion, les handicaps…

Une « femme forte », personnage historique, personnage de fictions… n’est pas une « figure féministe ». Il est forcément important, en Histoire, de parler de touTEs, donc aussi des femmes historiques, mais une reine, une femme riche… est « un homme comme les autres ».
Quand le pouvoir d’une femme s’inscrit dans un système patriarcal et discriminant, en s’élevant socialement, elle devient un homme (social), elle n’abolit pas les discriminations et n’apporte pas de droits supplémentaires aux autres femmes.

— Est-ce que c’est important de rappeler cette distinction dans un monde où, de toute façon, les femmes sont invisibles tout court ?
— Oui.
Quand on liste des romans avec des « femmes fortes », on ne parle pas de féminisme.
Attention, prendre le temps de mettre en avant des personnages féminins peut être une bonne chose pour rappeler que ce n’est pas une « minorité », mais la moitié de la population, donc ça peut être une « action féministe », mais ça ne peut pas constituer un essai ou une réflexion sur le féminisme.
Une œuvre sur le féminisme doit aborder la question sous un angle politique et collectif, pas célébrer le parcours d’une femme qui a réussi (par exemple) selon des critères patriarcaux.

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Le plaisir d’offrir, l’art de s’enfuir

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Lovely Runner | 선재 업고 튀어 (2024)

16 épisodes (60+ minutes)

Queen of Tears n’était pas fini que, déjà, sur les réseaux, on parlait de Lovely Runner en les comparant. Les deux histoires n’ont aucun lien entre elles, mais ces deux dramas sont les gros succès de ce premier semestre 2024 et il y a eu quelques blagues autour du fait que, si le premier a été diffusé par Netflix, la plateforme n’a pas eu le second, pour le plus grand plaisir de la plateforme « concurrente »1 Viki.

Si j’avais donc suivi la première au fur et à mesure de sa diffusion, pour la seconde, j’ai volontairement attendu qu’elle soit disponible en entier, sous-titrée en entier… et que la 10e et dernière2 édition de Nice Fictions soit passée. Et je l’ai binge-watchée cette semaine, probablement aussi je l’avoue pour m’échapper un peu de la réalité de ce début d’année : des séries de qualité sont clairement une bouffée d’air dans le climat actuel.

Elle (Kim Hye-yoon3) est hospitalisée : suite à un accident, elle a perdu l’usage de ses jambes et, désespérée, elle veut mourir quand Lui (Byeon Woo-seok), un chanteur célèbre, l’appelle au téléphone dans le cadre d’une émission de radio. Elle s’énerve, disant que la vie ne vaut pas la peine, mais il lui demande de continuer à vivre. Elle est touchée et va reprendre sa vie, en fauteuil roulant, tout en lui étant reconnaissante, fan de l’ombre qui le suit dans sa carrière.

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Eye Love You | アイラブユー (2024)

Bloguer est un drôle d’exercice (pour moi en tout cas, mais je doute être le seul) puisqu’il s’agit tout à la fois de s’adresser à l’Autre, cellui qui nous lit
donc de s’interroger sur ce qu’on a envie de lui dire, est-ce que c’est intéressant ?
mais aussi à son moi du futur, pour garder trace de pensées, d’expériences, de ressentis à un instant précis…
donc je ne parle pas que d’œuvres incontournables, marquantes et indispensables, mais de ce qui entraine ma pensée sur des chemins plus ou moins longs…

Je ne me souviens pas avoir vu de série télé japonaise donc je ne suis pas sûr que je n’en ai jamais vue, mais disons que celle-ci est la première dans ma mémoire actuelle.
J’ai regardé (vraiment beaucoup) de séries coréennes et chinoises et, forcément, au fil du temps, j’ai noté tout un tas de détails, parfois super inutiles : par exemple, dans une série chinoise, les amoureux sont susceptibles d’emménager très vite ensemble, alors que, dans une série coréenne, ils ne vont même pas s’attarder le soir l’un chez l’autre, l’emménagement étant plus lié au mariage et à la vie avec l’une des deux familles (sujet qui apparait pas mal dans Queen of Tears, notamment quand le père d’Elle demande à ce que ses petits enfants portent le nom de leur mère « par modernité » et se fait répondre par son fils que, pour lui, il a voulu que son enfant ait le nom du père
— mais qui m’évoque aussi Emma de Jane Austen où Elle ne veut pas se marier pour ne pas quitter son père).

Bref, tout ça pour vous dire que, dans Eye Love You, je n’ai aucune idée de ce qui relève des codes du pays, de ce qui est original, etc.
J’ai regardé parce que Netflix me l’affichait avec une énorme probabilité que ça me plaise et que je me suis laissé convaincre par le sujet (romance + fantastique) et par le petit plus (un rôle principal tenu par un Coréen donc l’annonce d’un croisement des cultures).

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Queen of Tears | 눈물의 여왕 (2024)

16 épisodes (77 – 109 minutes)

Scénario : Park Ji-eun, autrice notamment de Mon amour venu des étoiles et Crash Landing on You
Réalisateurs : Jang Young-woo et Kim Hee-won (Vincenzo)

Si vous êtes fan de kdramas, il est peu probable que vous n’ayez pas entendu parler de Queen of Tears donc le 16e et dernier épisode a été diffusé hier.

Hong Hae-in (Kim Ji-won1) est l’héritière douée de la très riche famille qui possède l’empire Queens. Baek Hyun-woo (Kim Soo-hyun) est l’héritier doué d’une famille moins riche, mais clairement aisée d’agriculteurs. Ils sont mariés depuis quelques années, mais leur mariage est un échec cuisant et, désormais, il ne peut que la détester profondément.
Décidé à divorcer, mais terrorisé par la puissance de sa belle-famille qui ne manquera pas de lui faire payer le prix fort pour cette trahison, c’est quand qu’il se décide de lui annoncer qu’il reprend sa liberté qu’elle lui coupe l’herbe sous les pieds avec une nouvelle bien plus terrible : elle est atteinte d’une maladie incurable et n’a plus que trois mois à vivre.
La joie rapide qu’elle disparaitra bientôt est, sans surprise, assez éphémère et d’autres sentiments vont se réveiller.
Pendant ce temps-là, les Méchants-vraiment-très-méchants complotent (méchamment et gratuitement) à déposséder les Hong de tous leurs biens.

Il y a énormément de choses à dire sur cette série (et ne pas spoiler m’est toujours difficile) donc je vais probablement faire une liste sans ordre précis, en commençant par les intrigues :
il n’y a pas une ou deux intrigues (une romance sur fond de complots),
mais des tas d’intrigues.
Rien qu’au niveau romance : il y en a plusieurs, toutes touchantes… mais, entre Hae-in et Hyun-woo, nous n’allons pas suivre des amoureux qui se découvrent. C’est un couple qui a échoué et qui s’est fait du mal. S’ils vont devoir affronter la maladie et les complots, ils doivent également faire face à leur échec : ils ne peuvent pas se jurer de s’aimer éternellement, ils n’ont pas réussi la première fois…
Côté complots, si les Méchants ne font pas corps, les Gentils ont eux-mêmes leurs propres conflits, pas tendres du tout…

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Wedding Impossible | 웨딩 임파서블 (2024)

A binge watcher sans remord puisque ce n’est pas la saison des comédies de Noël 😉

12 épisodes de 60+ minutes
Disponible sur Viki sous-titré en français

Elle1 et Lui2 sont meilleurs amis depuis le lycée, depuis qu’elle a joué le rôle de sa petite amie pour qu’on ne découvre pas qu’il est gay.
Lui1 est le petit frère de Lui2, tous deux fils illégitimes au sein d’une riche famille.
Elle1, actrice, galère pour trouver des rôles autres que figurante et, lasse, accepte quand Lui2 lui propose un rôle « utile » et bien payé : celui de sa fiancée.
Sachant qu’ils sont meilleurs amis, tout ne devrait que bien se passer, mais Lui1, ambitieux et bosseur, rêve de voir son frère à la tête de l’entreprise familiale et refuse qu’il épouse une femme ordinaire comme Elle1.
Sans surprise, en voulant saboter leur mariage, il va surtout tomber amoureux.

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Aux grands maux… | Doctor Slump | 닥터슬럼프 (2024)

16 épisodes de 60/70 minutes
Disponible sur Netflix sous-titré en français

(romance, un peu de polar, série médicale)

Lycéens, ils étaient la et le meilleur·e élève du pays et en rivalité.
Devenus adultes, Elle, anesthésiste, craque sous le harcèlement au travail tandis que Lui, chirurgien plastique, est accusé à tort d’une erreur médicale.
Ils se retrouvent et…

Si le début est assez triste/dur, petit à petit, le ciel s’éclaircit pour nos deux héros et leur adorable entourage.
C’est mignon, ça fait du bien, on pleure aussi.
Si la première partie joue avec le Polar, la fin est plus douce/mignonne.

Très agréable.

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