Elle | Her (2005)

15.100 signes – 14 minutes #romance #fantastique


À tous ceux qui, rêvant du grand Amour, ont fini par l’inventer.

Je m’étais toujours imaginé qu’un jour j’écrirais un grand roman. Quand je dis « grand », je veux bien dire « grand » : vous savez, un de ces trucs dont on va parler dans des tas d’émissions télé, où l’auteur est interviewé dans les magazines féminins… puis, quelques années plus tard, vous vous rendez à l’avant-première du film qu’on en a tiré.
Vous, hyper classe dans un costume de Machin acheté dans une belle boutique de Paris. À votre bras, c’est Untelle Grande Célébrité, un mannequin rencontré sur un plateau télé et qui vous a fait trois mômes.
Bref, je me voyais déjà… les soirs où, seul dans mon appartement, je regardais ma vie et n’y voyais rien… parce qu’il n’y avait rien à y voir.
J’avais déjà la première phrase : « Tout a commencé quand… »
Enfin, le début de la première phrase.
Rien, quoi.
Rien comme ma vie que je contemplais des heures durant plutôt que de tenter de la changer… pour quoi au juste ?
Moi.
J’approchais de la trentaine (mon anniversaire aurait lieu deux mois plus tard, grosso modo). 1m83, 75 kg, yeux marron (enfin, plus ou moins, j’avoue que, devant le miroir, je passe plus de temps à me raser qu’à m’interroger sur les nuances de couleur !), cheveux châtains (foncés ?) un peu longs (le coiffeur m’ennuie).
Informaticien dans une administration : sécurité de l’emploi, horaires fixes, collègues tranquilles.
Appartement au centre d’une petite ville de province : loyer un peu excessif, mais proximité des cinémas, d’un peu de vie… que je n’avais pas.
Le temps libre réparti entre des soirées entre potes (quelques bières, ils fument, mes vêtements puent), la compagnie de mon ordinateur (le réparer, le soigner, lui donner à manger) et du net, des jeux vidéos, un mail à mes parents une fois par semaine et… allez, pas mal de films, de livres.
Où en étais-je ?
Bref, quand je ne m’ennuyais pas, je contemplais mon nombril, désespéré du vide de ma propre existence et bien décidé… à ne rien y changer.
Et puis elle est arrivée.

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Est-ce qu’on pourrait perdre « Historique » ?

Quand tu commences une histoire, tu peux choisir entre 3 décors type : Contemporain, Ancien et Futuriste
puis, ensuite, bien sûr, tu peux mixer : un décor futuriste avec des dirigeables, un décor ancien avec des téléphones, etc.
Cette « simplicité » à choisir est lié tout simplement à notre rapport linéaire au temps : passé, présent, futur. Dans quelle direction regardes-tu à partir de ton point d’écriture / observation ?
Une fois ton décor choisi, tu restes libre de ton monde et, si tu ne peux pas prédire le futur, tu es libre de fantasmer le passé.

Dans le milieu de l’imaginaire français, ces distinctions entrainent tout un tas de débats qui amènent à des étiquettes qui ne tiennent pas forcément la route si on les regarde attentivement.
La Science-Fiction va être collée sur les décors futuristes, avec une image de sérieux, pour les vrais mecs qui sont des scientifiques… La Fantasy, ce sera pour les filles car il y a des licornes et de beaux gars en armure.
Vous pensez que je me moque de vous ?
Mais tellement pas. Vous seriez effrayé de certaines discussions que j’ai pu voir passer. Y’a même des festivals qui ne veulent pas de l’étiquette SF et/ou Fantasy parce que c’est « pour les autres ».
Bref, plus le temps passe, plus je suis tenté d’adopter une grande étiquette globale Fantastique, mais, dans un contexte international, il semble que ce soit le mot Fantasy qui désigne le Fantastique au sens francophone (français ?) et, du coup… tout n’est sans doute que de la Fantasy au final.

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The First Frost | 难哄 (2025)

Une histoire lente et réussie sur une jeune femme qui doit guérir de ses blessures et l’amoureux parfait qui la soutient et attend
32 épisodes de 40+ minutes

Wen Yi Fan (Zhang Ruo Nan) et Sang Yan (Bai Jing Ting) se sont rencontrés au lycée et se sont aimés, mais, victime d’une grave agression et abandonnée par sa mère, WYF disparait au moment où ils devraient rejoindre tous deux la même université. Ils se retrouvent quelques années plus tard, quand elle revient dans leur ville natale, après pas mal d’épreuves. Elle cherche un colocataire, il se présente pour emménager et s’installe avec elle.

C’est tout ?
C’est tout.

On est sur un récit volontairement très lent où nous allons petit à petit découvrir leur vie en tant que lycéens (passé) et leur vie actuelle (présent) et où, au même rythme que nous, SY, qui est un garçon brillant qui a grandi dans une chouette famille, va découvrir les blessures de WYF et attendre qu’elle se reconstruise.

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A Dream Within a Dream | 书卷一梦 (2025)

Gros gros coup de cœur pour cette histoire fantastique / isekai / méta qui nous parle notamment d’écriture de scénario
40 épisodes de 40+ minutes
Réalisateur : Guo Hu 郭虎

Song Xiao Yu (Li Yi Tong) est une actrice dont la carrière est en peine quand elle est castée comme rôle principal aux côtés du très célèbre Nan Feng (Liu Yu Ning). C’est donc la chance qu’elle attendait, mais, à la lecture du scénario (qui se déroule dans un monde ancien), il s’avère que son personnage, Song Yi Meng, ne fait que subir un ensemble d’humiliations et de tortures de la part du personnage principal masculin, Nan Heng, qui s’avère est un terrible méchant.
Frustrée de la situation, elle se réveille dans le monde du script, en tant que SYM du coup, et veut tout tenter pour échapper à l’horrible destin de son personnage, mais, très vite, elle est rattrapée par les « règles » du monde : les « scènes emblématiques » (et terribles) ne peuvent être évitées + NH apparait toujours pour la sauver où qu’il se trouve auparavant.
Bien sûr, NH n’est pas le méchant de cette histoire et il va tomber très vite très amoureux de SYM car elle détonne complètement, mais elle ne peut répondre à ses sentiments puisqu’elle sait qu’il va la tromper, la torturer, etc.

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L’échelle Beyoncé

Une pote (25 ans) m’a demandé : « Qui est la Rowling française ? »
Alors, attention, ne vous méprenez pas : elle et moi n’avons aucune doute qu’une personne aussi transphobe que Rowling doit être boycottée, mais, avant qu’elle ne devienne Voldemort, Harry Potter a été lu par plein de petit·es français·es. Parce que les romans sont arrivés en 2001, avec nos GenZ, et, dans l’enfance et l’adolescence, ça a été probablement un de leurs passages dans le monde Fantasy.

Alors, oui, Harry Potter était plein de trucs problématiques. Perso, je n’accrochais pas trop. En tant que parent, pour bien faire mes devoirs, j’ai emmené mes filles voir les premiers films jusqu’à ce qu’elles me disent qu’on ne verrait pas les suites car ça n’était pas assez bon. (Aucune idée d’où on s’est arrêté.)
Bref, d’ailleurs, ça doit bien faire mal de grandir avec un roman-film-doudou et de te réveiller à l’âge adulte, dans un monde qui brûle, et d’apprendre que l’écrivaine de ton doudou voue une haine terrible à plein d’innocents.
Mais là n’est pas le sujet…

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T’as pas la réf ?

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Le Roi fantasque | The Fanciful King (2010)

16.000 signes – 14 minutes #fantasy


Le couloir n’est plus éclairé à cette heure tardive et les soldats avancent à la lueur de leurs bougies. Entravée par de lourdes chaînes, la Générale Alba Encyri les laisse l’emmener. La fatigue commence à avoir raison d’elle, la faim, l’humiliation… et, dans une partie très intime de son esprit, la pensée qu’elle n’est ici que parce que l’homme qu’elle aime – a aimé – l’a trahie. Par conviction politique ou pour quelques pièces d’or ? Elle n’en a aucune idée et elle sait que cela n’a plus d’importance. Au bout de ce couloir, ou d’un autre, il n’y aura que la mort et, avant cela, d’autres privations, d’autres humiliations…
Le petit groupe s’arrête devant une double porte beaucoup trop ouvragée, dans ce style qu’affectionnent les citadins d’Amlis, la capitale. Celui qui semble être le chef de cette escorte cogne à la porte et doit entendre qu’on lui ordonne d’entrer. Elle est poussée (ou traînée) et cille dans la lumière vive de la pièce où elle pénètre.
Dans un large fauteuil d’or et de cuir, un homme est assis et leur fait signe d’approcher. De taille moyenne et plutôt maigre, il a de longs cheveux noirs où sont glissés des fils d’argent et des pierres précieuses. Son visage est durci par un bouc et ses longues robes indiquent son appartenance aux mages pourpres. Alba reconnaît ce roi qu’elle n’a jamais vu et contre qui elle s’est battue six années durant, avant la trahison et la honte.

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KPop Demon Hunters (2025)

L’anime du moment qui mérite tout à fait son succès
1h35
Une VF existe, mais AMHA à voir en VO, surtout pour les chansons originales

L’exercice du blog personnel est un peu curieux : il s’agit avant tout de tenir son propre journal en public et, du coup, pas toujours, mais parfois, ça peut faire douter de la démarche. Parce que, en général, lorsque je rédige un billet, même d’humeur, j’espère transmettre une info ou une idée, mais… comme ici, je n’ai rien à vous dire.
Je prends note pour le moi-futur de quel film j’ai vu quand, mais, si vous me lisez aujourd’hui (et pas dans 10 ou 20 ans), vous avez déjà forcément entendu parler de KPop Demon Hunters, de son sujet, de son succès et que c’était vachement bien. Donc je n’ai aucune info pour vous…

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Game of True Love | 挚爱游戏 (2025)

Une romance toxique pour public averti et des complots WTF à gogo
56 épisodes de 15 minutes
Adaptation de la série thaïlandaise Game Sanaeha (2018)

(A noter que, lorsque je parle de « public averti » au dessus, il n’y a aucune scène sexuelle explicite ou rien, je fais référence à la toxicité de la relation entre les deux héros.)

Ils ont grandi ensemble dans une famille riche : Elle (He Rui Xian) en tant qu’enfant biologique, Lui (Fan Zhi Xin) en tant qu’enfant adopté quand sa mère, qui travaillait pour ladite famille, disparait. Au lycée, ils sont très amoureux l’un de l’autre, mais Lui change brutalement d’attitude envers Elle à 18 ans et la quitte pour Elle2. Blessée, Elle part à l’étranger où elle vit quelques relations et on sait que Lui la fait suivre. Ce qui peut relativement se justifier puisque, en tant qu’héritière riche, elle pourrait être victime de personnes mal intentionnées.

Quand Lui prend le poste de PDG de leur entreprise familiale, Elle revient car elle ne l’entend pas de cette oreille. C’est alors qu’elle découvre que, en plus de la prise de contrôle de Lui, Elle2 (l’ex de Lui) est désormais en couple avec leur père qui a divorcé sans qu’elle le sache. Et Elle a toutes les raisons de penser que c’est Lui qui a mis ensemble Elle2 et leur père, détruisant le mariage de leurs parents.

Ils se provoquent, mais, assez vite, Lui se déclare et, en réponse, Elle lui propose un pari : il a 3 mois pour la séduire ou il devra quitter l’entreprise / leur famille.

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Est-ce les mécanismes de la romance qui sont foireux ou toi qui es misogyne ?

Au moment où je rédige ce billet, A Dream Within a Dream est en cours de diffusion et, hormis celleux qui ont bossé dessus, personne n’en connait donc la fin. Pour l’instant, c’est du très très bon et je croise tous mes petits doigts pour que le récit reste à hauteur tout du long jusqu’à sa conclusion, mais là n’est pas le sujet.
J’en détaillerai l’histoire plus tard, lorsque j’aurais fini de le voir, mais, très grossièrement : Elle (Li Yi Tong) est une actrice qui bascule dans le scénario du film dans lequel elle tourne. Dans ce scénario original, Lui (Liu Yu Ning) est le méchant : il la trompe avec sa propre sœur, la torture, etc. Elle a donc toutes les raisons du monde de s’en méfier dans le monde-imaginaire sauf que, toi, spectateurice, tu découvres très vite que Lui-imaginaire n’est a priori pas le méchant de l’histoire et qu’il est tombé sincèrement très amoureux d’Elle.
Pour l’instant, c’est très très méta, drôle et terrible à la fois et super addictif. Et les deux acteurices jouent très bien.
A cette étape, je ne peux donc pas vous spoiler par définition puisqu’on ne sait pas tout, mais, perso, je me pose une question : est-ce que Lui-imaginaire a aimé Elle-imaginaire à un moment donné (ce que ne semble pas dire le scénario original qu’on nous a raconté dans le 1er épisode) ou est-ce que le scénario original est différent du monde-imaginaire parce que, dans ce monde, c’est Elle-actrice qui existe ?
Le Lui-imaginaire que nous suivons est amoureux d’Elle-actrice, avec ses pensées et valeurs de notre époque moderne.

Mais ce n’est pas le sujet de ce billet.
— Hein ??? Pourquoi tu nous racontes tout ça alors ?

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Où je vous partage un article qui parle de webcomics et où j’annonce les #VdR9

Ce matin, l’algorithme (lequel ?) me propose un article sur Usbek & Rica, daté de mardi. (C’est quand même dommage de choisir volontairement en illustration de l’article une femme aux seins trop gros…)
Il aborde un sujet qui m’intéresse forcément : la place du numérique dans la lecture.
Les jeunes lisent… mais sur leurs smartphones. Et je trouve ça tellement plus pratique : j’ai toujours mon téléphone sur moi donc, à l’extérieur de la maison (ce qui est une grande partie du temps pour pas mal de gens), si j’ai un moment devant moi, je ne peux pas consulter ma bibliothèque papier.
— Tu pourrais glisser un livre dans ton sac…
— Outre le poids supplémentaire (chaque item compte)… on est en 2025 !
Quand je me dis que « j’ai envie de voir une série », je vais sur une plateforme et je parcours le catalogue. Ça ne peut pas être différent pour la lecture, avoir un seul livre sur moi me semble… inconcevable ?

Yang Yang puisqu’il fallait en choisir un pour illustrer ce billet

En plus de la praticité pour lae lecteurice, l’article mentionne la production : quand on publie un webcomic, il n’y a pas de frais de production papier, de stockage, de délais de livraison…
Dans un gros mois (normalement), aux Vagabonds du Rêve, nous allons sortir notre premier volume de notre anthologie numérique les Vagabonds du Rêve 9.
Dans les années 2000, je me demandais pourquoi le numérique semblait peiner alors que c’était un format « évident » et nous avions déjà sorti quelques nouvelles qui sont toujours en ligne.

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Love O2O (série) | 微微一笑很倾城 (2016)

C’est l’histoire de la princesse Grenouille, plongée dans l’eau tiède, qui passe à la casserole…
30 épisodes de 40+ minutes
Réalisateurices : Lin Yu Fen 林玉芬, Guo Hu 郭虎

Yang Yang as Xiao Nai, rusé et lubrique

Dimanche, je vous racontais pourquoi je m’étais lancé dans la série Love O2O que j’ai finie hier soir. Et j’ai plein de choses qui me viennent en tête !
(Je dois dire que c’est sans doute une des séries où je suis particulièrement en désaccord avec les avis que je lis ici ou là et qui me semblent passer à côté de l’histoire…)

Tandis que je regardais la série, je me disais qu’elle ne collait pas avec le film que j’avais vu, même s’il y avait un fort déjà-vu sur pas mal de scènes, et par acquis de conscience, avant de rédiger ce billet, j’ai donc revisionné le film ce soir.
C’est donc la même histoire avec quasi les mêmes persos et des répliques communes… et pas du tout la même histoire.

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Toi aussi, tu as des plaisirs coupables ?

Il y a quelques temps, j’ai regardé le film Love O2O.
J’ai bien aimé… en partie parce que les MMORPG me manquent.
— Ben, pourquoi tu n’y joues pas ?
— A chaque fois que j’ai rejoint un MMORPG, c’était parce que des copines, de la famille… y jouaient.
Ne me jugez pas, je suis dans la team qui a du mal à aller seul au resto ou au ciné. Rejoindre un MMORPG sans y rejoindre quelqu’un, ben… je ne franchis pas le pas.
Bref, le film était court et comblait un petit manque, mais, quand j’ai vu qu’il y avait une version série de 30 épisodes, j’ai eu une petite moue circonspecte…

En finissant Fireworks of My Heart sur Viki, j’ai regardé la fiche des deux acteurices principaux pour voir dans quoi ils avaient joué sinon (et qui était dispo sur la plateforme).
Côté Wang Chu Ran, j’ai déjà vu l’excellent Are You the One et je me souviens avoir vu également Have a Crush On You (pas chroniqué).
Et, là, je vois que Yang Yang joue le personnage principal de la série Love O2O. (Et je ne le reconnaissais pas dans l’image d’entête !)

Alors, après une longue hésitation, j’ai cliqué hier soir et vu le premier épisode.
Qui est… hum… terrible1. Les images, les doublages, le manque de réalisme de l’environnement…
— Et ensuite ?
— J’ai eu une migraine ophtalmique2 au début du 2e épisode donc je n’avais d’autre choix que d’aller me coucher !

Ce matin, j’ai regardé le 2e épisode parce que ça m’agaçait de m’être arrêté au début… et j’ai réalisé que j’aimais bien les voir jouer aux MMORPG.
Voilà, je ne sais pas si je vais tout regarder3 et, pour l’instant, c’est vraiment le même scénario que le film, mais j’avoue que c’est agréable de voir des gens juste faire ce qu’on aime bien !
(Oui, c’est pour ça que je craque toujours quand un personnage principal est écrivain-like !)

  1. Version négative de l’adjectif, s’il y a un doute… ↩︎
  2. Je déteste tellement ça : t’as pas mal, mais tu n’y vois plus rien !!! ↩︎
  3. Réponse dans quelques jours, si vous voyez une chronique dédiée apparaitre. ↩︎
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Aux Enfers, le meilleur des RS t’attend…

Aux Enfers, à côté de la section utilisateurices réguliers de Linkedin, il y a celleux qui postent des histoires “inspirantes” sur les réseaux. Ils viennent d'y ouvrir une salle privée pour et qui l'illustrent à l'aide de l'IA générative. Dans l’attente, sur Terre... qui lit ces gens et... POURQUOI ???
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You Are My Glory | 你是我的荣耀 (2021)

Une fluffy romance autour des métiers-passions, avec un héros qui évolue pour son plus grand bien, pleine de respect
32 épisodes de 30+ minutes

Ils étaient dans la même classe au lycée où Lui (Yang Yang) était un très brillant élève. Elle (Dilraba Dilmurat) lui a déclaré sa flamme, mais il l’a rejetée car il l’a estimée « pas assez intelligente » (i.e. pas assez bien classée).
Comme il en rêvait, il travaille désormais dans l’aérospatiale, mais il traverse une période de doute car le salaire est faible et les horaires fous. Pensant à démissionner pour aller travailler dans la finance, où réussissent ses camarades d’université, son chef lui accorde un congé d’un mois pour qu’il réfléchisse.

Elle, devenue une actrice reconnue, est l’ambassadrice d’un jeu vidéo (un MOBA), mais la rumeur circule qu’elle ne sait pas jouer et l’entreprise organise un tournoi dans un mois, où elle sera la joueuse vedette. Et, effectivement, si elle aime jouer, ses performances sont mauvaises donc, avec le sérieux qui la caractérise, elle décide de s’entrainer dur pour ne pas se ridiculiser.

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